• (Très difficile de faire des photos : une foule immense et peu de recul)

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    le Bateau phare ; L'Hermione : la reconstitution du Navire

    qui conduisit Lafayette et ses hommes aider  à l'indépendance des Etats Unis

     

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    la Mature du Géant Russe 

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    Le Santa Eulalia , bateau musée du port de Barcelone

    Escale à Sète 34 : les voiliers 

    La Grâce (tchèque)

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    Escale à Sète 34 : les voiliers

    Escale à Sète 34 : les voiliersEscale à Sète 34 : les voiliers

    Le calme habituel du grand canal de Sète.

    A bientôt 

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    article complémentaire copié sur le web:

    La véritable histoire de l'Hermione, frégate du XVIIIe siècle

    L'Hermione, réplique de la frégate de Lafayette prendra la mer

    le samedi 18 avril prochain  ( c'était en 2017) pour son grand voyage

    inaugural vers les États-Unis.

    Elle empruntera le même chemin que son modèle, 235 ans après elle.

    Retour sur la véritable vie de l'Hermione.

                       

     "L'Hermione est une frégate dont la construction a démarré en 1997 à Rochefort,

    grâce à l'association Hermione Lafayette. Lancée en septembre 2014,

    elle s'apprête désormais à faire son voyage inaugural vers les États-Unis.

    Auparavant, elle a navigué sur les côtes françaises, faisant escale dans plusieurs

    villes de France et suscitant à chaque fois l'engouement du public.

    Mais l'Hermione n'est que la réplique de l'Hermione, frégate du XVIIIe siècle,

    ayant elle aussi, vu le jour à Rochefort. Construite en 1778, elle nécessita 11 mois,

    au total, de travail et fut achevée en 1779. Servant à pourchasser les navires-corsaires

    et navires marchands, elle servait également à protéger les bâtiments d'une escadre.

    Mais ce qui fit connaître l'Hermione, c'est son rôle dans la guerre d'indépendance de l'Amérique.

    Lafayette embarqua à bord de la frégate en 1780 pour rejoindre ce qui est aujourd'hui

    les États-Unis, et mener le combat au côté du général Washington.

    L'Hermione prit part à de nombreux combats et en sortit toujours victorieuse.

    À son retour en France, en 1782, elle continua ses missions de frégate avant de sombrer

    le 20 septembre 1793, en raison d'une mauvaise manœuvre de son capitaine,

    en pleine révolution française.

    Après des fouilles archéologiques en 2005, plusieurs objets sont récupérés

    et certaines parties de la frégate sont remontées comme le gouvernail

    et l'ancre de 4 mètres de long."

     


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  • Froid et humide mais la reine ne laisse rien paraître

    Le Carnaval d'Albi  2018

    Le Carnaval d'Albi  2018

    Le Carnaval d'Albi  2018

    Le Carnaval d'Albi  2018

    elles ont du mérite !

    Le Carnaval d'Albi  2018

    Le Carnaval d'Albi  2018

    cette année peu de monde , le parcours  était sécurisé

    mais il a fait froid

    Le Carnaval d'Albi  2018

     

     

     


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  • Pour ce qui est du Musée SOULAGES, il n'est pas si mal intégré dans la ville

     LE CORBUSIER( au musée SOULAGEs à Rodez) .

    Je passe sur les oeuvres de ce peintre Ruthénois

    et vous fais profiter de l'expo temporaire : LE  CORBUSIER :

     

    Architecte
    Charles-Édouard Jeanneret-Gris, né le 6 octobre 1887 à La Chaux-de-Fonds,
    dans le canton de Neuchâtel, en Suisse, et mort le 27 août 1965
    à Roquebrune-Cap-Martin, plus connu sous le pseudonyme
    de « Le Corbusier », est un architecte, urbaniste, décorateur,
    peintre, sculpteur et homme de lettres, suisse de naissance
    et naturalisé français en 1930.
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    des sculptures...

     


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  • Au Musée Toulouse Lautrec - Albi

    Au Musée Toulouse Lautrec - Albi

    Au Musée Toulouse Lautrec - Albi

    Au Musée Toulouse Lautrec - Albi 

    3 sculptures de Paul BELMONDO 

    Au Musée Toulouse Lautrec - Albi

    et celui de sa femme Madeleine

    et deux dessins de Toulouse Lautrec :

     Au Musée Toulouse Lautrec - Albi 

    Au Musée Toulouse Lautrec - Albi

    Mon dessin préféré , c'est celui-çi

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    et surprise!

    cette expo temporaire:

    Jules CAVAiLLES

    Peintre  Tarnais -  1901 -1977

     

    Au Musée Toulouse Lautrec - Albi

    je vais sur le WEB (j'ai acheté le livre des éditions GRAND  SUD)

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    Un artiste accompli, un homme engagé

       

    jules_cavailles_gaillac cavailles_dans_son_atelier_gaillac

    cavailles_gaillac

     

    francoise_a_la_poupee_gaillac

     

    nature_morte_au_vase_vert_gaillac

     

    la_mantille_blanche_gaillac

     

    albi_la_cathedrale_et_le_palais_de_la_berbie_gaillac

     

    femme_a_la_table_basse_gaillactable_au_bouquet_de_roses_blanches_gaillac

     

     

     

    le_palais_de_la_berbie_gaillac

     

    le_parc_gaillac

     

    le_vase_rouge_gaillac

     

    Une enfance tarnaise

     

    Né à Carmaux d'une famille de commerçants, Jean-Jules-Louis Cavaillès suit de courtes études au lycée d'Albi et entre dès l'âge de 14 ans à Castres dans une classe de préparation aux Arts et Métiers. Il y apprend notamment le dessin industriel, mais échoue au concours. A cette époque, en raison de la guerre, il fait la connaissance de soldats en convalescence à Castres qui l'initient au dessin. Grâce à l’obtention de son brevet supérieur, il entre aux Mines de Carmaux en tant que dessinateur, de septembre 1918 à décembre 1921.

     

     

    Formation artistique

     

    A Carmaux, Jules Cavaillès rencontre le peintre Bernard-Joseph Artigue qui travaillait à Blaye, avait été élève de J.-P. Laurens et était l'ami d’Henri Martin. Artigue l’incite à aller à Paris suivre un enseignement auprès des deux fils de Jean-Paul Laurens. Il y fait la connaissance de Rose Féral qu’il épouse à Carmaux en 1920.
    En 1921, il s’installe à Paris et emménage à la Ruche, cité d'artistes dans le 15ème arrondissement. Là, il  trouve une véritable ambiance créative dans un lieu qu’avaient fréquenté Marc ChagallConstantin Brancusi, Chaïm Soutine…

    Cavaillès suit les cours de l’Académie Julian pendant trois ans jusqu’en 1925 et fréquente le Louvre. Il se lie d’amitié avec le peintre Limouse. Ils partageront ensuite le même atelier. Il expose avec lui deux fois au Salon des Artistes Français puis au Salon d’Automne qu’ils quittent ensuite pour aller au Salon des Indépendants. Dès 1927, Cavaillès envoie ses toiles au Salon des Méridionaux à Toulouse et y fait la connaissance d'André Arbus, d’Arthur Fages et d’Henri Parayre, sculpteur et ornemaniste… En 1928, il montre ses travaux à Bourdelle. Le maître l’encourage et le fait inviter au Salon des Tuileries où il est l’un de ses deux parrains, le second étant Auguste Perret. En fréquentant les galeries, Cavaillès découvre un art non académique ; il participe avec Villard au Salon des Echanges pour lequel Limouse est membre du comité. On peut dire que de 1930 à 1935, il cherche à dégager son style.

     

    En 1934, il passe une partie de l’année en Italie et est nommé sociétaire du Salon d’Automne à Paris. Il fait alors la connaissance de Jacques Guenne, directeur de la revue l'Art vivant ; celui-ci lui consacre de nombreux articles. Il  participe à la vie de Montparnasse et de Montmartre, tant à des soirées festives qu'à des dîners en compagnie d'André Warnod.  Tout ce petit monde se retrouve à Saint-Germain des Prés ou rue du Douanier ou encore au Moulin de la Galette. Cavaillès restera toute sa vie un bon vivant et un grand gastronome à l’humeur joyeuse.


    En 1936, Raymond Escholier conservateur du Petit Palais lui confie la constitution du quatorzième groupe des "Artistes de ce temps". Cavaillès réunit alors Villard, Limouse, Launois, Favé, Arbus, Dideron et Saint-Saëns. Cette même année, il obtient le Prix Blumenthal. Cette reconnaissance lui permet alors de retourner en Italie. De retour à Paris, il travaille dans un atelier du square Desnouettes avec Limouse et là "commence une vie de peintre avec tous les abus qu’elle comporte" écrit-il. Il continue alors dans les galeries sa quête d’un autre art.


    Après son passage à l’Académie Julian, il a la révélation des Fauves et son admiration va droit à André Derain, Maurice de Vlaminck, Georges Braque et Henri Matisse. Puis c’est vers Auguste Renoir et Pierre Bonnard que se porte son intérêt. Cavaillès rencontre très souvent Bonnard lors de ses séjours dans le Midi où il va le visiter dans son atelier du Cannet.


    1937 est l’année de la première exposition personnelle de Jules Cavaillès à Paris, chez Druet, avec un premier achat par l’Etat. Il exécute également une décoration pour le Pavillon du Languedoc à l’Exposition Internationale. Il rencontre Matisse pour la première fois grâce à Escholier qui les présente à l’occasion de l’Exposition de 1937 ; les deux artistes se retrouveront, notamment pendant la guerre, à Nice.
    En 1938, Cavaillès est nommé professeur à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs. Il fait la connaissance de Legueult, Oudot et Brianchon et exposent ensemble à la Galerie de l’Elysée.
    En 1939, l’Etat lui commande une décoration pour la salle des mariages de Poissy. Il est aussi sollicité pour une autre commande, celle d’un panneau décoratif pour la salle du conseil d’administration de la société « La Séquanaise ». Cette année est couronnée par l’obtention d’une médaille d’or à l’Exposition Internationale de Paris.

     

     

    Les années de guerre

     

    Le retour dans le milieu artistique albigeois
    En 1940, Cavaillès choisit, avec sa famille, de se replier sur Albi et d'installer son atelier de peintre, 19 rue de La Berchère. Il retrouve alors ses racines et ses amis tarnais. 
    Montrant la profondeur de son attachement à son pays retrouvé, Cavaillès, pendant cette période, s’implique et s’immerge complètement dans tous les mouvements intellectuels qui voient le jour à Albi ; il participe ainsi à la rédaction de la revue Rimes et Raisons et collabore au Centre des Intellectuels du Tarn. Durant ces années difficiles, il continue quand même à voyager, à aller sur la côte d’Azur et à voir régulièrement certains artistes. Il va aussi à Collioure et rencontre Dufy. Depuis Albi, Cavaillès continue également à exposer dans diverses galeries à Paris et dans le Midi (Elysée en 1939, Berry-Raspail en 1941, Arte à Cannes et Gaffié à Nice, en 1943).

     

    Cavaillès dans la Résistance
    En même temps, Cavaillès entre en résistance à Albi, au groupe Combat, le 1er mars 1941 et y milite jusqu’au 6 juin 1944. Il se met entièrement au service de la Résistance et son atelier est un des grands centres de la clandestinité du Tarn pendant cette période. On y installe des stocks de tracts, on y accueille des suspects et des juifs comme Pierre Dac qui y fut caché. Le PC de la Résistance y trouve refuge pendant plusieurs semaines. Dès le Ier septembre 1943, Cavaillès s’occupe de services de renseignement. Il recrute de nombreux amis et adhérents pour mouvement et participe activement à la rédaction et la diffusion du journal Combat. Le 6 juin 1944, lors de la fusion des mouvements de Résistance, il est incorporé alors dans le Maquis de la Montagne Noire. Il part s’y installer avec sa famille, dans une bergerie de fortune. Là, ils continuent ensemble à fournir des renseignements aux chefs de la Résistance. Il travaillera alors beaucoup avec son ami Jean Cassou (1897-1986), écrivain, critique d’art et militant qui durant cette période avait été nommé inspecteur de la Résistance dans le sud, puis commissaire clandestin de la République. Jean Cassou raconte dans ses mémoires comment il y retrouve Cavaillès, à l’occasion d’une importante visite secrète avec les chefs de la Résistance, près de Mazamet. Puis vient la Libération. La plupart de ces artistes, réfugiés à Albi, regagnent Paris, redevenu d’un seul coup le centre mondial des arts.

     

     

    L'après-guerre, une carrière internationale

     

    En 1944, Cavaillès est nommé par Jean Cassou comme responsable des réquisitions. A la Libération, il est nommé conservateur au Musée des Augustins de Toulouse jusqu’au moment où il est réintégré à son poste de professeur aux Arts Décoratifs à Paris. La carrière de Jean Cassou après la guerre, et notamment la création d’un grand musée d’art moderne, sera pour beaucoup dans l’évolution de la carrière artistique de Cavaillès qu’il ne manquera jamais d’associer dans les nombreuses grandes expositions internationales qu’il organisera. Cavaillès installe alors son atelier, quai de la Tournelle puis rue de Poissy. Il est nommé professeur à l’Académie Julian. Il est décoré de la Légion d’honneur, le 13 août 1947, pour ses faits de résistance.

    En 1949, il est lauréat du 4ème Prix Hallmark et nommé membre du conseil de la Fondation Salomon de Rothschild. En 1950, il devient membre du comité du concours d’architecture que "Plaisir de France" organise avec la galerie Charpentier.

    L'année suivante, il réalise un panneau pour le navire Provence intitulé "Invitation au voyage" et participe au jury de la 1ère Biennale de Peinture de Menton.

    Son premier carton de tapisserie "La Sorcière" pour les Gobelins voit le jour en 1952. Cette même année, il exécute un panneau décoratif pour le paquebot Ferdinand de Lesseps suivi de deux autres pour les paquebots Vietnam et Jean Laborde en 1953. Le 16 avril, il est nommé officier de la Légion d’honneur.

    C'est à cette époque que la SCNF lui commande des affiches pour illustrer les provinces de France, en particulier la Provence et le Languedoc. Il établit des relations avec le monde du cinéma et fréquente, à l'occasion du festival de Cannes, Edgar J. Robinson, Rossellini ou encore Gary Cooper. Il participe au jury des bourses de l’Académie Julian.

    Il consacre l'année 1956 à préparer une exposition pour la galerie Romanet à Paris et est nommé Officier des Arts et des Lettres l'année suivante.


    Propriétaire d’une résidence secondaire en Normandie, Cavaillès rencontre et accueille de nombreux artistes comme Braque, Vlaminck ou encore Raymond Legueult. Il  n'y restera pas et achètera une autre  propriété à Epineuil dans l'Yonne, commune dont il sera élu conseiller municipal en 1959. Cette même année, il est nommé juré adjoint pour le concours du Grand Prix de Rome.

    En 1960, il devient membre du conseil supérieur de l’enseignement des Arts Décoratifs, est nommé chevalier des Palmes Académiques, fait un voyage en Finlande et confectionne l’affiche du carnaval de Nice. La Compagnie Transatlantique lui commande un dessin pour l’appartement Comté de Nice sur le paquebot France en 1961.

     

    De 1962 à la fin de sa vie, Jules Cavaillès continue à voyager à travers le monde : Portugal, Espagne, Angleterre, Italie, Etats-Unis, Japon... ce qui ne l'empêche pas d'être nommé Chevalier de l’ordre du Mérite en 1964 et Commandeur des Arts et Lettres en 1966 et membre du jury du Prix International de Dessin en 1976. Il meurt à Epineuil le 29 janvier 1977.

     

     

     

     


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